Les deux catégories de maladie

Christian Flèche nous offre une perspective fascinante sur la santé : il voit les maladies à travers deux prismes bien distincts. Laisse-moi te détailler cela de la façon la plus limpide possible.

Imagine qu’on a tous un objectif commun : se sentir épanoui dans notre existence. Pour y parvenir, on a grosso modo deux stratégies :

  • Chercher à vivre des expériences qui nous font du bien,
  • Éviter tout ce qui peut nous faire du mal. 

Ce qui est considéré comme bénéfique ou néfaste varie d’une personne à l’autre et peut englober des gens, des expériences, ou même notre environnement.

De cette approche découlent deux défis majeurs :

  • La séparation d’avec ce qui nous rend heureux,
  • Le fait de devoir endurer ce qui nous pèse.

Les maladies, selon Flèche, surgissent quand on se trouve coincé, sans pouvoir échapper à ce qui nous blesse ou retrouver ce qui nous manque.

Alors, le corps se met en quête d’une solution. Il peut soit créer un excès là où on ressent un vide (comme les acouphènes qui « comblent » le silence, ou les tumeurs qui ajoutent là où on perçoit un manque), soit il peut réduire ou éliminer quelque chose en réponse à une agression ou à un rejet (comme perdre la vue pour ne plus voir ce qui nous fait souffrir).

Face à un symptôme d’excès, comme une tumeur, on explore un conflit lié à un manque, une absence : c’est la tentative de « remplir le vide ».

À l’inverse, face à un symptôme de retrait, comme une paralysie, on cherche un conflit lié à l’évitement d’une agression : c’est la protection.

Parfois, les symptômes peuvent refléter un mélange des deux, comme dans l’asthme, où on ressent à la fois l’agression d’un environnement non désiré et la séparation d’avec un espace où l’on aimerait être.

J’espère que cette explication te parle. Si quelque chose n’est pas clair, n’hésite pas à me contacter ici.

Le principe est fascinant : chaque partie de notre corps qui est touchée par une maladie correspondrait à un type précis de conflit ou d’émotion refoulée. Le but ? Trouver cet événement, ce « choc initial » qui a déclenché le trouble, comprendre et libérer les émotions liées pour entamer un vrai processus de guérison. Parfois, ça demande un travail de fond sur soi, parce que chacun de nous réagit et guérit différemment.

Et si aujourd’hui, je peux t’en parler en tant qu’experte, c’est que j’ai moi même traversé la maladie pour apprendre à communiquer avec ce language bien particulier qui est celui de notre corps.

Ce que j’adore avec le biodécodage, c’est qu’il remet chaque personne au centre de son processus de guérison. Tu deviens l’acteur principal de ta santé et de ton mieux-être. C’est un outil incroyable pour se connaître et se reconstruire.

Mais, et c’est important de le souligner, et je ne cesserais de le répéter que plonger dans le biodécodage ne signifie pas mettre de côté la médecine traditionnelle. Ce n’est pas un substitut mais un complément, une couche supplémentaire de compréhension et de soin qui s’ajoute au suivi médical. Cela fait partie d’une pièce du puzzle de notre être.

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