Si tu découvres ce que c’est aujourd’hui, l’idée du « biodécodage », c’est assez simple en fond : nos émotions, surtout celles qu’on cache ou qu’on refoule, jouent un rôle énorme dans notre bien-être physique. Quand on vit des moments durs, remplis d’émotions comme la colère ou la tristesse, et qu’on les garde en nous, cela peut finir par se manifester sous forme de maladies. La société n’aide pas, nous faisant souvent croire qu’exprimer ce qu’on ressent, c’est se montrer faible et donc vulnérable.
Le principe est fascinant : chaque partie de notre corps qui est touchée par une maladie correspondrait à un type précis de conflit ou d’émotion refoulée. Le but ? Trouver cet événement, ce « choc initial » qui a déclenché le trouble, comprendre et libérer les émotions liées pour entamer un vrai processus de guérison. Parfois, ça demande un travail de fond sur soi, parce que chacun de nous réagit et guérit différemment.
Et si aujourd’hui, je peux t’en parler en tant qu’experte, c’est que j’ai moi même traversé la maladie pour apprendre à communiquer avec ce language bien particulier qui est celui de notre corps.
Ce que j’adore avec le biodécodage, c’est qu’il remet chaque personne au centre de son processus de guérison. Tu deviens l’acteur principal de ta santé et de ton mieux-être. C’est un outil incroyable pour se connaître et se reconstruire.
Mais, et c’est important de le souligner, et je ne cesserais de le répéter que plonger dans le biodécodage ne signifie pas mettre de côté la médecine traditionnelle. Ce n’est pas un substitut mais un complément, une couche supplémentaire de compréhension et de soin qui s’ajoute au suivi médical. Cela fait partie d’une pièce du puzzle de notre être.